Depuis la présentation de ma nouvelle collection de photographies du Bassin d’Arcachon « automne 2007 », je n’avais plus vraiment donné de nouvelles.
Il est vrai que la destruction de la Cabane Tchanquée N°53 m’avait mis le moral à zéro. Sa reconstruction annoncée « à l’identique » a donné un résultat pire que ce que j’imaginais… Mais nous y reviendrons plus tard, photos à l’appui.
Puis, il y eu les élections municipales.
J’ai profité de cette occasion pour m’exprimer sur les blogs de certains candidats et notamment celui de notre député-maire de Gujan Mestras : Marie Hélène des Esgaulx. Nous avons beaucoup échangé pendant ces quelques semaines et principalement sur des questions d’urbanisme et de protection de l’environnement. J’ai pu notamment soulever un certain nombre de problèmes et d’interrogations liées au Wharf de la Salie. Mais là encore nous aurons l’occasion d’y revenir et je vous présenterai un certain nombre de documents ainsi que mon point de vue et mes inquiétudes sur l’avenir du Bassin d’Arcachon. J’espère que ces échanges de correspondance permettront d’approfondir la question.
Avec le printemps, voici venu le temps de me remettre au travail !
Ouf… ça y est… je commence à en voir la fin.
Depuis mon retour des USA, j’ai passé mes journées et mes soirées à travailler sur ma nouvelle collection de photos du Bassin.
J’avais réalisé les prises de vue avant de m’envoler pour NY et Cape Cod mais il restait toute la partie post-production, la plus longue et la plus délicate avant le résultat final.
J’ai reçu les tests du labo hier et je ne suis pas trop mécontent.
Vous découvrirez des vues aériennes saisissantes de réalisme, quelques lieux que je n’avais pas en encore exploré, et surtout mes dernières photos des Cabanes Tchanquées avant la destruction de la Cabane 53. Je pense que je ne ferai plus de photos des Cabanes alors celles-ci sont vraiment les dernières…
Il ne reste plus qu’à attendre les tirages qui sont en cours.
Je pense pouvoir organiser le vernissage le jeudi 13 décembre. Ce sera à La Suite 246 au Moulleau, comme à chaque fois.
Vous pouvez voir les nouvelles photos en cliquant ici !
a suivre…
Une semaine que je suis rentré.
A peine déposé mes bagages dans ma petite maison en bois de la Hume que je reçois un coup de téléphone de Jean-Philippe Claverie, le réalisateur de la Teste qui a tourné et monté le reportage du DVD qui accompagne mon livre sur le Bassin. Il fait un temps splendide et il voudrait que je lui tourne des images vidéos à bord de l’ULM. Il en a besoin pour son DVD sur le Bassin qui sortira dans quelques semaines. Vous pouvez d’ailleurs en voir un extrait sur son site : www.bassindarcachon-lefilm.com.
C’est vrai qu’il fait beau. A 17h00 je décolle avec Michel Boudigues. JP m’a amené sa caméra pro. Il fait très froid là haut. La tour de Cazaux nous autorise à survoler la Dune et le Banc d’Arguin quelques instants à 1000 pieds. Il y a beaucoup de trafic aujourd’hui. J’ai du mal à trouver la bonne position pour lutter contre le vent et garder la caméra stable. J’aurais préféré être à gauche mais Michel a l’habitude de piloter à cette place alors je dois faire avec.
Nous longeons à 150 pieds (50 mètres) les plages océanes du Cap Ferret. C’est superbe ! Puis nous coupons vers le phare autour duquel nous tournons presque à la verticale. Nous remontons vers le Mimbeau, puis direction le Moulleau. Je filme la plage Pereire puis le front de mer d’Arcachon baigné d’une lumière rasante orangée. Arrivé au niveau du port, nous partons vers l’Ile aux Oiseaux. Je demande à Michel de faire le tour par le Village d’Afrique. Nous sommes toujours à 150 pieds. Sous nos ailes, un groupe d’oiseaux migrateurs nous accompagne. Quel bonheur !
Ma joie est de courte durée et prend un goût amer. Je découvre de mes propres yeux le chantier de la Cabane Tchanquée 53. Ca y est, elle n’est plus là… Décidemment j’ai du mal à accepter cette destruction… Je sais ce qu’ils vont faire de la nouvelle cabane-musée, je devine ce qui se passera par la suite, la dérive dans laquelle nous nous laissons emporter sans rien dire. Je reste convaincu que ce chantier préfigure le devenir du Bassin. Depuis mon retour de Cape Cod je suis encore plus attiré et choqué par les grues innombrables qui bordent les routes d’Arcachon, de Gujan et de la Teste… des résidences, des immeubles, des cages à lapin partout ! des « Pichet » interviewés par la presse locale et qui, avec la complicité des élus locaux qui leurs octroient les permis de construire, ont trouvé la bonne formule pour justifier l’urbanisation : « si on arrette de construire, l’immobilier continuera à flamber et les enfants des locaux ne pourront pas se loger… » Quelle connerie ! de toutes façons cela fait bien longtemps qu’il est devenu quasiment impossible de se loger sur le Bassin pour des jeunes ménages… et puis les enfants des locaux moi je n’en vois pas beaucoup rester sur le Bassin, et ce n’est pas vraiment pour des problèmes de logement mais plutot par l’absence de travail…
Le Bassin est une jolie station balnéaire, un environnement de travail pour les métiers de la mer, ostréiculteurs, pêcheurs, charpentiers de marine, une source d’emploi pour les métiers du tourisme et du commerce. Mais ça les élus ne veulent pas l’assumer. ils veulent voir plus grand, plus moderne, plus… valorisant pour leur carrière politique !
Je suis un parisien qui aime les grandes cités. J’aime New York, j’aime le dynamisme des grandes villes et leurs excentricités. Mais chaque chose à sa place. Quand je me suis installé ici, je cherchais le calme, la nature, l’authenticité. J’ai de plus en plus de mal à retrouver ces qualités.
Je redoute que la magie de ces lieux, de cette lumière si particulière qui m’avait inspiré depuis 7 ans, ne fonctionne plus à présent.
Je me dis qu’il est temps pour moi d’envisager de partir. Oui je vais envisager mon départ dans les 3 ans à venir. C’est mieux.
Lundi 4h00 PM : Je prend un taxi pour l’aéroport de Newark qui se trouve à 20 minutes de Manhattan, dans le New Jersey. Le chauffeur est Sénégalais. Nous discuttons de ce pays que je connais bien.
Il est tellement content de parler de son pays avec moi.
Il est arrivé à NY il y a 14 ans et a acqui la nationalité américaine. Il rentre au Sénégal tous les 4 mois. Il est heureux et sa famille aussi. Je lui parle des grèves d’Air France, que je suis content d’avoir choisi une autre compagnie. Lui ne comprend pas vraiment pourquoi les francais sont toujours en grève…
A l’aéroport, je m’attendais à être fouillé de fond en comble avec tout mon matériel mais il n’en fut rien. Je suis passé comme une lettre à la Poste (quand il n’y a pas de grève…).
Nous décollons à l’heure à bord de « LAVION », cette compagnie que je vous recommande si vous devez partir à NY. Le vol se déroule bien. Je n’arrive pas à dormir alors je regarde deux films sur mon écran. Je ne vois pas passer les 6 heures de vol. Attérissage à Orly à 7h00 pile. Arivée des bagages immédiate, pas de douane. En 10 minutes je suis dehors.
Mon père vient me chercher en voiture. Je dors toute l’apres midi, décalage horaire oblige.
Demain, TGV direction Arcachon.
Mon blog ne s’arretera pas là…
Voilà c’est fini.
Dans moins de 40 minutes, je descendrai du loft pour aller à 20 mètres, dans Greenwich street appeler un taxi jaune qui me conduira a l’aéroport de Newark dans le New Jersey.
Mon avion décollera à 19h00.
Je viens de me promener une dernière fois le long de l’East River, jusqu’à une petite marina en plein coeur de Manhattan. Les quelques bateaux qui y sont amarés ont une vue directe sur la statue de la Liberté. Tout cela entouré de buildings impressionnants !
J’ai déjeuné dans une sorte de grande brasserie à l’américaine. Petites tables avec nappes à carreaux rouges, ketchup sur toutes les tables et personnel hyper rapide et souriant. J’ai pris une salade avec du parmesan et du poulet braisé et… une Bud Light !
Puis, juste à côté, un coffee Mocha with leche au StarBuck.
Je l’ai bu tranquilement sur le chemin du retour au bord de la rivière sous un ciel bleu magnifique peuplé d’hélicoptères de la NYPD. J’ai pris quelques dernières photos que je vous montrerai demain car je ne peu plus sortir le matériel qui est maintenant bien rangé pour le voyage.
J’ai deux énormes sacs qui vont en soute et un gros sac photo avec tout mon matériel plus le macbook en cabine. Je m’attends à être fouillé, refouillé et encore refouillé. Tans pis, on ne peu pas leur reprocher d’être vigilant, surtout après avoir été voir les cicatrices du 11 septembre sur Ground Zero…
Je ne devrais pas être trop embêté par les grèves d’Air France puisque je voyage sur la compagnie « Lavion ».
Ce trip américain a été au delà de mes espérances. Je n’ai rencontré que des gens gentils, aimables, souriants. Je n’ai pas vu de violence, assez peu d’obèses et je n’ai pas rencontré Georges Buch ! J’ai découvert New York, une ville d’une autre planète, incroyable, fascinante à tous les coins de rue.
New York est en mouvement perpétuel. Cette immense cité ne s’arrete jamais.
Les américains avancent vite, beaucoup plus vite que nous.
J’ai eu la confirmation que Cape Cod avait de nombreux points communs avec le Bassin d’Arcachon.
Cet endroit est sublime, entièrement préservé grace à une vraie politique environnementale. Nos élus du Bassin feraient bien de s’en inspirer au lieu de nous pourrir le Bassin de projets aussi absurdes les uns que les autres et de nous soupoudrer quelques mesures écologiques bidons histoire d’avoir bonne conscience…
A cape Cod, pas de publicités en 4x3m sur le bord des routes, pas un seul immeuble et pourtant 4 fois plus d’habitants que sur le Bassin à l’année. A Cape Cod il est interdit de construire une maison sans utiliser le bois comme matériau. A Cape Cod, les ostréiculteurs (shell fishermen) sont peu nombreux mais sont la fierté de la baie qui a pris des mesures environnementales draconniennes pour protéger cette activité. A Cape Cod, les seuls bateaux à moteur sont des vedettes destinées à la pêche au gros, ou des bateaux traditionnels en bois fabriqués dans des chantiers du Massachussets ou du Connecticut. Pour la plaisance, les gens naviguent en grande majorité sur des voiliers.
Je suis content de revenir. Pour parler de ce que j’ai vu, pour montrer mes photos, et pour vous faire découvrir d’autres horyzons.
Je repartirai à New york et à Cape Cod, c’est certain.
Et j’irai en Floride et en Californie. Plus tard… mais très bientôt.
Merci à toutes celles et tous ceux qui ont suivi ce blog depuis le début, ou qui l’ont pris en cours de route. Pardonnez moi pour les nombreuses fautes d’orthographe mais le temps m’a manqué pour me relire.
Un immense merci à Isabelle et Pascal Leyo, qui m’ont accueilli à NY dans des conditions exceptionnelles. Je leur doit la réussite de ce voyage.
Fin du trip américain, partie 1.
Aujourd’hui c’est mon dernier jour et ma dernière soirée aux USA.
Demain soir je reprend l’avion pour Paris, puis le TGV pour Arcachon.
Pour ce dernier jour, j’ai la chance d’avoir un ciel bleu. Le bleu que j’aime tant.
Je vais au labo Duggal chercher les 8 films argentiques que j’ai fait à Cape Cod. Je suis agréablement surpris par le résultat. Dommage que je n’ai pas eu un peu plus de temps sur place pour faire d’avantages de films. J’ai emmené avec moi Raphael, le fils de mes amis qui n’a que 6 ans et demi. Hier il s’est pris d’un soudain intérêt pour mes appareils photos et je lui ai donc confié le D-200 quelques minutes. Il a réussi à faire des photos tout à fait correctes, nettes, bien cadrées.
Durant tout le trajet il n’aura cessé de prendre des photos. Au labo, il découvre ce que sont les films. Il les regarde avec moi sur l’immense table lumineuse, puis nous nous remettons en route.
En fin d’apres midi, Raphael et Pascal m’accompagne au bout du pont de Brooklyn afin de faire des photos de nuit de Manhattan. Je sors le panoramique rotatif, ce qui me permet d’avoir une vue intéressante des deux ponts avec Manhattan au milieu. Comme d’habitude, ce curieux engin attire de nombreux badots…
Je n’aurai pas le temps de développer le film à NY alors je vais prendre le risque de le passer aux rayons X demain à l’aéroport. D’après Albert Delamour, cela ne pose aucun problème. On verra bien…
(les photos de moi ont été prises par Raphael, 6 ans et demi)
@ suivre…
Ce matin il pleut encore.
Je pars au labo, chez Duggal sur la 23 st.
Je dépose mes 8 films que j’irai récupérer demain.
Ce voyage m’a appris une chose essentielle: il est inutile de m’encombrer de tout mon matériel moyen format car compte tenu du nombre de sites à photographier et du peu de temps dont je dispose, il est impossible d’être suffisament productif pour obtenir des images nombreuses et variées.
Mes appareils moyen format réclament une mise en place assez lourde et finalement, je n’aurai fait quasiment que du numérique, surtout à New York. Quand je pense à la galère que cela va être de rapporter ce matériel dans l’avion… j’aurais pu m’en passer.
Bon à savoir pour le prochain voyage…
Je m’arrete manger dans un « diner ». Vous savez ces restos tout en longueur où l’on peu manger au bar et où le café est à volonté (la serveuse vient vous resservir en permanence avec la cafetière). Vous avez vu ça des centaines de fois dans des films.
Je commande des oeufs « bénédicte » : deux oeufs pochés sur des toasts, accompagné d’une sauce hollandaise et de pommes de terres. C’est bon. Le menu « lunch » à 9,50 $ est composé d’un jus doranges pressées, d’un café (à volonté), des oeufs bénédicte et d’une salade de fruits fraits. Qui dit mieux ?
L’estomac bien rempli, je reprends le métro « downtown, ligne 1 » direction Franklin Street. Je rejoins Isabelle et les enfants dans un parc juste à côté ou tous les enfants du quartier ont rendez vous pour Halloween. Deux paparazzi sont là à guetter l’éventuelle venue de Gwineth Paltrow qui vient souvent avec ses enfants dans ce parc.
Puis nous partons avec Pascal sur Soho, refaire un peu les boutiques.
Je découvre encore des boutiques que je n’avais pas vu… mais j’arrête les frais car j’ai peur de ne plus avoir de place dans mes bagages…
Nous nous arrêtons diner dans un restaurant italien magnifique, en terrasse extérieure. Il fait encore très bon à NY. Je commande des Penne avec une sauce composée de saumon et bacon mixés, de crème fraiche, de tomate et de … vodka ! Une recette que je compte bien étudier à mon retour.
Pascal et Isabelle me conseillent de me rendre au dernier étage d’un hotel de « Meat Packing ». Là il y a un bar avec une terrasse panoramique qui donne sur NY. Je m’y rends donc vers 22h00.
Dès mon arrivée dans le métro, les gens commencent à arriver déguisés. Dans le quartier de Meat Packing, tout le monde est déguisé. Je me sens un peu ridicule. Je monte au bar. Effectivement la vue est interessante. En plus, c’est la pleine lune ce soir…
En repartant, je me ballade un peu dans les rues très animées et prends quelques photos discrètement des meilleurs déguisements. Il y a des limousines partout !
Nétant pas déguisé, je ne peut malheureusement pas rentrer dans les bars alors je décide d’aller me coucher.
@ suivre…
Ce petit périple à Cape Cod m’avais épuisé. Je m’en suis rendu compte ce matin en me réveillant à …10h00 ! J’avais besoin de rettraper le sommeil perdu.
Aujourd’hui je décide de retourner à Ground Zero.
Quand j’arrive sur place, il fait assez froid et il pleut. En observant les gens qui sont là, il me vient une idée : pourquoi ne pas photographier les visages en gros plans pour capter leurs expressions…
J’emboite le 80-200 et commence à mitrailler. Toutes les races sont là, toutes les couleurs de peau, et toutes les générations.

J’ai pris des centaines de visages et je compte en faire une mosaique à mon retour en France.
La gare est en dessous et des milliers de New Yorkais se pressent pour ne pas rater leur train. Pour eux, le 11 septembre c’est déjà du passé. Les américains ont cette particularité de regarder devant eux, contrairement à nous qui passons notre temps à nous tourner vers le passé… ils avancent, ils avancent vite, peut être parfois trop vite, sans avoir pris le temps de réfléchir.
Je sais que dans quelques jours, les grêves de transports m’attendent à Paris… impensable ici !
Ce soir, Isabelle et Pascal m’emmènent rejoindre Monica et Raphaël dans un resto branché du quartier de Meat Packing : le Buddakan.
A l’exterieur, rien ne pourrait laisser croire ce qu’il y a à l’intérieur.
A New York, on passe devant les restaurants sans les voir, car à l’extérieur rien n’attire le regard. Les enseignes sont inexistantes, ou alors très discrêtes et les entrées sont minuscules. Mais quand on se retrouve à l’intérieur, alors là, c’est allucinant, gigantesque, et des décos fantastiques !
Au Buddakan, pas moins de 8 hotesses d’accueil !
Nous prenons un apéritif New Yorkais : le « Cosmopolitan ». Très agréable mais aussi très « traitre »…
D’après Pascal c’est à base de Cointreau. Soudain, Isabelle discute avec une fille qui est juste à côté de nous. Avec Pascal, nous pensons que c’est une de ses connaissances. En fait non. Isabelle me demande de m’approcher et de me retourner : j’ai l’étiquette du prix de mon nouveau blouson en cuir qui est encore accrochée et qui pendouille ! éclats de rire. Je me justifie comme je peux avec mon anglais façon » where is Bryan ? » … j’explique que j’ai pris la pluie, que mon blouson est trempé, et que j’ai dû prendre celui là précipitament avant de partir et que je n’avais pas vu cette étiquette là… le petit ami de l’américaine qui s’est emparé de l’étiquette me rassure : » don’t worry man, 150 dollars ! you made a good deal !!! »

On nous installe à une table agréable et les filles commencent à commander pour tout le monde.
Soudain, je crois reconnaître la jeune femme qui est à ma gauche à l’autre table.
Il s’agit de l’actrice Renée Zelweger, l’actrice du « journal de Bridjet Jones »… Isabelle lui demande poliment si elle accepte une photo avec moi pour mon blog… et voilà !
J’offre mon livre sur le Bassin à Monica et Raphael et je leur parle de mon pilote d’ULM, Michel Boudigues et de son incroyable histoire…
La cuisine est excellente ! les saveurs asiatiques excquises. Monica et Isabelle ont commandé une ribambelle de plats. C’est délicieux. Le Saké se boit facilement mais… doliprane obligatoire le lendemain !
@ suivre…
@ suivre
Ce matin il pleu toujours sur Cape Cod… là bas, de l’autre côté de l’Océan, la Cabane Tchanquée N°53 pleure encore…
Mon vol en hélico ne se fera pas.
Je décide rentrer à New York.
5 heures de route à 60 miles/h… cela paraît interminable…
A peine arrivé et posé mes bagages, je rejoin Isabelle dans la galerie de Michèle et son mari photographe Albert Delamour. Ils ont organisé le vernissage d’une expo d’un artiste peintre contemporain : Ethan Andrews.
Et puis on va dîner en bas de chez eux, dans un resto français : le « parigot ».
Nous y retouvons Jean et Céline, avec qui nous avions dîné la semaine dernière. Jean nous montre sur son iphone les photos de la magnifique Aston Martin DB2 qu’il vient de s’offrir. Il en rêvait de cette voiture, et bien ç a y est : il en est propriétaire. Il doit aller la chercher dans le Texas.
J’apprends qu’il y a pas moins de 80 000 français à New York ! C’est énorme.
Demain, après une bonne nuit de récupération, j’irais faire développer mes films chez Duggal.
à suivre…