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26/10 : une journée à New York

Ce petit périple à Cape Cod m’avais épuisé. Je m’en suis rendu compte ce matin en me réveillant à …10h00 ! J’avais besoin de rettraper le sommeil perdu.

Aujourd’hui je décide de retourner à Ground Zero.
Quand j’arrive sur place, il fait assez froid et il pleut. En observant les gens qui sont là, il me vient une idée : pourquoi ne pas photographier les visages en gros plans pour capter leurs expressions…
J’emboite le 80-200 et commence à mitrailler. Toutes les races sont là, toutes les couleurs de peau, et toutes les générations.
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J’ai pris des centaines de visages et je compte en faire une mosaique à mon retour en France.

La gare est en dessous et des milliers de New Yorkais se pressent pour ne pas rater leur train. Pour eux, le 11 septembre c’est déjà du passé. Les américains ont cette particularité de regarder devant eux, contrairement à nous qui passons notre temps à nous tourner vers le passé… ils avancent, ils avancent vite, peut être parfois trop vite, sans avoir pris le temps de réfléchir.

Je sais que dans quelques jours, les grêves de transports m’attendent à Paris… impensable ici !

Ce soir, Isabelle et Pascal m’emmènent rejoindre Monica et Raphaël dans un resto branché du quartier de Meat Packing : le Buddakan.
A l’exterieur, rien ne pourrait laisser croire ce qu’il y a à l’intérieur.
A New York, on passe devant les restaurants sans les voir, car à l’extérieur rien n’attire le regard. Les enseignes sont inexistantes, ou alors très discrêtes et les entrées sont minuscules. Mais quand on se retrouve à l’intérieur, alors là, c’est allucinant, gigantesque, et des décos fantastiques !
Au Buddakan, pas moins de 8 hotesses d’accueil !

Nous prenons un apéritif New Yorkais : le « Cosmopolitan ». Très agréable mais aussi très « traitre »…
D’après Pascal c’est à base de Cointreau. Soudain, Isabelle discute avec une fille qui est juste à côté de nous. Avec Pascal, nous pensons que c’est une de ses connaissances. En fait non. Isabelle me demande de m’approcher et de me retourner : j’ai l’étiquette du prix de mon nouveau blouson en cuir qui est encore accrochée et qui pendouille ! éclats de rire. Je me justifie comme je peux avec mon anglais façon  » where is Bryan ? » … j’explique que j’ai pris la pluie, que mon blouson est trempé, et que j’ai dû prendre celui là précipitament avant de partir et que je n’avais pas vu cette étiquette là… le petit ami de l’américaine qui s’est emparé de l’étiquette me rassure :  » don’t worry man, 150 dollars ! you made a good deal !!! »

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On nous installe à une table agréable et les filles commencent à commander pour tout le monde.
Soudain, je crois reconnaître la jeune femme qui est à ma gauche à l’autre table.
Il s’agit de l’actrice Renée Zelweger, l’actrice du « journal de Bridjet Jones »… Isabelle lui demande poliment si elle accepte une photo avec moi pour mon blog… et voilà !

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J’offre mon livre sur le Bassin à Monica et Raphael et je leur parle de mon pilote d’ULM, Michel Boudigues et de son incroyable histoire…

La cuisine est excellente ! les saveurs asiatiques excquises. Monica et Isabelle ont commandé une ribambelle de plats. C’est délicieux. Le Saké se boit facilement mais… doliprane obligatoire le lendemain !

@ suivre…

@ suivre

3 thoughts on “26/10 : une journée à New York

  1. bonjour,
    les prix au buddakan sont ils excessifs?
    merci de me repondre car je me rend à ny au mois de decembre et je souhaiterai y faire un tour

  2. mais qui est cette star à côté de René Zellweger? 😉

  3. Je suis passé hier à 10 m de la cabane, il ne restait plus que la plateforme et les poteaux en béton. J’ai d’ailleurs croisé la barge de GENTY qui ramenait les morceaux vers le port.
    Il est vrai que l’édifice était un peu bancale mais j’espère que la reconstruction sera vraiment à l’identique.
    Je suis entièrement d’accord pour dire qu’il faudrait faire comme les Corses car le Bassin, sur lequel je suis venu habiter en 1994, n’est plus du tout le même.
    Le spot de Windsurf des Arbousiers ( à Arcachon) a perdu toute son âme, on ne peut plus rincer ses voiles, ni même ses pieds, à moins d’être acrobate vu l’emplacement du robinet d’eau « mis à la disposition » des usagers de la plage.
    Sur ce spot nous voulions simplement des Chiottes, on nous a apporté la MERDE !

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