« Carbone » est typiquement le genre de photo qui marque les esprits dans la galerie. Tout le monde l’adore… mais personne ne l’achète !
Il est vrai qu’au delà de son intérêt esthétique, il faut pouvoir l’intégrer dans sa décoration intérieure. La plupart des gens n’osent pas franchir ce cap. Et c’est bien dommage car je suis convaincu qu’ils ne seraient pas déçus du résultat obtenu, tant sur leur déco que sur la curiosité que cette oeuvre éveillera chez leurs amis.
Cette prise de vue aérienne a été réalisée au dessus des zones ostréicoles qui sont face à Picquey et aux Jacquets. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, il ne s’agit pas d’une photo en noir et blanc mais bien d’une photo en couleur non retouchée. La vase, les débris d’huitres et de coquillages amassés, et le jeu des reflets argentés du contre-jour, créent cette illusion de noir et blanc. Pour aller jusqu’au bout du concept, j’ai demandé à Julien, l’ébéniste, de me réaliser une caisse américaine en pin massif… brûlée !
Quant à l’impression UV sur dibond elle permet de faire ressortir les reliefs de l’image.
Certainement ma photographie du Bassin la plus originale disponible actuellement.
Elle attend son acquéreur(e).
Vous connaissez déjà ma photo intitulée « Arbre Généalogique » qui a rencontré un beau succès et dont il ne reste que quelques exemplaires disponibles. Son prix s’est un peu envolé.
Je viens de sortir une nouvelle prise de vue aérienne sur le même thème.
Il s’agit cette fois-ci d’un panoramique représentant plusieurs « arbres généalogiques » dessinés par le courant dans la vase du fond du Bassin.
Elle est disponible dans différents formats à partir du 50×100 et sur différends supports, donc à des tarifs tout à fait raisonnables.
N’hésitez pas à me contacter ou mieux encore, à venir la découvrir à la galerie de la Hume.
J’avais déjà réalisé un tirage noir et blanc de 2mx2m pour des clients du Cap Ferret l’année dernière, mais cette fois ci on a mis la barre encore plus haut avec « Les Immortelles », ce panoramique sur dibond d’un paysage figuratif des Sabloneys (Pilat) mesurant 1m25 x 3m encadré dans une caisse américaine en pin massif. Elle reste visible à la galerie quelques jours avant de partir chez ses acquéreurs à… Salon de Provence ! Eh oui, il y a des gens qui pour des raisons familiales ou professionnelles sont partis vivre dans une autre région, voir à l’étranger, et à qui le Bassin manque terriblement. N’hésitez pas à me contacter si vous souhaitez un format sur-mesure.
Les limites nous les repousserons 😉
Le mois de septembre marque le démarrage de l’été indien, période que j’affectionne le plus pour mes prises de vues, notamment en paysages figuratifs. Du coup, la Galerie n’est ouverte que sur rendez-vous. N’hésitez pas à me contacter au 06 61 63 52 62 pour connaître les horaires du jour. A bientôt
Je ne travaille malheureusement pas beaucoup avec la presse et les magazines, mais il arrive qu’ils me contactent pour une ou plusieurs de mes photos. C’est le cas ce mois-ci avec cette prise de vue panoramique de la Bastide d’Armagnac (Landes) réalisée il y a quelques années.
Elle illustre ainsi un article consacré à la cheffe réputée Hélène Darroze publié dans le magazine Notre Temps.
Parmi les photos qui ont vraiment rencontré un beau succès à la Galerie depuis son ouverture, il y a Une Autre Planète, Ancre de Chine, l’Arbre Généalogique, mais il faudra désormais compter sur « INFUSION ».
Cette prise de vue aérienne a été réalisée au dessus du Banc d’Arguin juste après le confinement, au moment où les pluies diluviennes avaient provoqué un apport de sédiments dans le Bassin par la Leyre. L’eau ferrugineuse mélangée à l’eau de mer a créé des mélanges de couleurs tout à fait exceptionnelles.
Cette photographie est particulièrement belle en subligraphie avec une caisse américaine mais vous pouvez aussi l’acquérir sur d’autres supports et dans tous les formats à partir du 70×90 cm.
Si vous avez eu un coup de coeur pour INFUSION, n’attendez pas trop car mon petit doigt me dit que les 30 exemplaires vont partir assez vite.
Maîtres Magalie Lagassan et Anaïs Vanneau, notaires à la Teste, ont eu le coup de coeur pour deux photographies : l’Arbre Généalogique en tirage subligraphie + caisse américaine en chêne massif 1m x 1m50 et « Trajectoire Orbitale » en 1m25 x 1m65 en caisse américaine en pin massif travaillée par l’ébéniste pour un effet bois flotté.
« L’Arbre Généalogique » trône à l’accueil de leur très belle étude située au centre de La Teste, et « Trajectoire Orbitale » est installée dans le bureau de Maître Lagassan.
C’est la deuxième fois que l’Arbre Généalogique est choisi par une notaire. Maître Hélène Ensuque l’avait aussi installé à son étude d’Arcachon. Une photographie qui a forcément du sens pour cette profession.
Depuis le dé-confinement, l’activité de la galerie de la Hume a repris aux horaires habituels de la saison estivale.
Ouvert du mardi au samedi de 10:00 à 12:30 et de 15:30 à 19:30
Bien évidemment, le port du masque est obligatoire et je vous invite à vous désinfecter les mains à l’entrée. Pour la sécurité de tous, il est préférable de ne pas être plus de 3 à l’intérieur (moi y compris).
Franchir le seuil de la porte d’entrée de cet espace d’exposition, échanger avec moi, se rendre compte de la qualité des tirages, constituent une première étape indispensable à l’acquisition d’une photo.
Au départ le projet était de partir en mode road trip sur les routes de Californie pendant deux mois. Je devais traverser et photographier différents parcs nationaux tels que Joshua Tree, Death Valley, Sequoïa Park et Yosemite. Je devais aussi passer un peu de temps à San Francisco et redescendre sur L.A. par la mythique route de la côte pacifique. De ce voyage je n’avais programmé que la première semaine à Joshua Tree. J’avais loué un 4×4 confortable car je savais que j’allais rencontrer des conditions hivernales difficiles et j’avais réservé un logement atypique dans un van des années 80 dans le désert de Yuccas Valley. La suite du voyage devait se faire selon mon inspiration en totale improvisation. Je partais sur les traces de Raymond Depardon, en « errance ». Ce voyage c’était le rêve de toute une vie.
Mais c’était sans compter sur ce putain de virus qui m’a finalement rattrapé là-bas dans le désert. Non pas que je sois tombé malade, mais plutôt que dès mon arrivée en Californie le 9 mars, le covid-19 se propagea très rapidement sur le territoire américain, m’obligeant à prendre la décision de rentrer au bout de quelques jours pour rejoindre mes compatriotes dans l’expérience du confinement national.
J’ai heureusement pu mettre à profit ces 10 jours pour explorer le parc national de Joshua Tree, de fond en comble. Je n’allais pas bénéficier des conditions climatiques que l’on attendrait d’un désert situé dans le sud de la Californie. Au contraire, le froid, le brouillard, le vent et des pluies torrentielles furent de la partie. Mais ce n’était pas sans me déplaire car j’ai pu réaliser des images un peu différentes. Je vous laisse découvrir les photos disponibles en tirages grands formats en cliquant ici.
Il ne me reste plus qu’à attendre que ce virus nous laisse tranquille pour ré-envisager ce voyage. Peut-être bientôt, qui sait…?
Ci-dessous voici quelques photos prises façon « carnet de voyage » avec mon petit Fuji XT2 :