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Publié le 23 septembre 2023
Autopsie d’un procès pour contrefaçon.

En juillet 2016, j’ai découvert l’utilisation frauduleuse d’une de mes photos sur un affichage publicitaire par un promoteur immobilier à Andernos les Bains. Ce qui aurait pu être une affaire simple et vite résolue à l’amiable s’est finalement transformée en une procédure judiciaire qui a duré plus de 9 ans. Un premier jugement qui m’était favorable a été rendu par le Tribunal de Grande Instance de Bordeaux en juin 2020. Mais mes adversaires ayant fait appel, il a fallu deux années de procédure supplémentaire pour finalement aboutir à un jugement avec des indemnités considérablement revues à la baisse, et des conséquences pour tous les photographes à cause de la jurisprudence générée par cette décision.

L’affaire ne s’arrête pas là puisque pour des raisons purement juridiques, j’ai saisi la Cour de Cassation. Encore deux ans de procédure et 4000 € de frais d’avocat supplémentaires furent nécessaires.

En juin 2026, la Cour de Cassation m’a donné raison et a rétabli le jugement de première instance en ce qui me concerne. La Cour a condamné également le promoteur immobilier incriminé à me rembourser l’intégralité des frais d’avocat pour la procédure de cassation et 5000 € d’indemnités de retard ont été ajoutés.

Au final, le promoteur immobilier qui avait utilisé ma photo sans autorisation, ni crédit, et qui avait en plus effectué un recadrage, est condamné à me verser la somme de 21 000 € de dommages et intérêts + 3500 € au titre de l’art.700 (1ère instance) + 5000 € d’indemnités de retard + 3000 € au titre de l’art.700 (cassation), soit un total de 32 500 €, sachant que mes frais d’avocats cumulés se sont élevés à plus de 15 000 €.

Cela en valait-il la peine ? tant d’énergie et de temps dépensés pour au final être indemnisé à hauteur de 17 000 €, chacun aura son avis.

Une question demeure: que s’est-il passé pour que le juge de la cour d’Appel de Bordeaux, alors que rien ne l’y obligeait, réduise les indemnités à une somme correspondant exactement à celle proposée par mes adversaires lors de la tentative d’arrangement amiable ?… et sans aucun argument… Je suis en droit de me poser la question.

En complément de l’article de six pages paru dans le magazine Profession Photographe du mois de novembre 2023, de celui paru en juin 2025, et de l’interview du numéro de septembre 2025, je vous propose d’aller plus loin dans l’analyse de mon procès.

En cliquant sur ce lien:

cliquez ici

vous pourrez accéder aux documents (délibérés et conclusions). Notez que les conclusions des différentes parties mises en ligne sont les conclusions finales, après de multiples échanges pendant toute la durée de la mise en l’état. Il faut considérer qu’il y a eu en réalité entre 2 et 4 échanges de conclusions entre les parties avant de clore les débats…

Je vous propose également une petite vidéo dans laquelle je vous donne mon ressenti personnel et je vous propose quelques pistes pour aborder un litige dans le cas d’une contrefaçon. Le but de cette démarche est de vous faire part de mon expérience et de vous éviter de vivre la même.

Mise à jour au 23 juillet 2025 : la vidéo sera accessible bientôt. Merci de revenir sur cette page dans quelques jours.

Publié le 29 août 2023
Publication dans Terre Sauvage

Pour son numéro du mois d’août, le magazine Terre Sauvage publie un portfolio consacré à mes photographies aériennes du Bassin.

Sur 7 pages, le magazine a sélectionné 10 photographies extraites de mon dernier livre « ORGANIC ».

Publié le 12 août 2023
« EVOLUTION » et « MARVEL »
Photo aérienne du Banc d'Arguin au Bassin d'Arcachon par le photographe Stéphane Scotto

Depuis quelques années, j’ai revu ma façon d’aborder le Bassin comme sujet de mes photographies.

Plutôt que de produire chaque année des dizaines, voir des centaines, de nouvelles photos, je préfère aujourd’hui me contenter de quelques nouveautés.

Cette année, et pour le moment, je ne propose que deux nouvelles photos.

Je les ai prises au printemps, en ULM et au dessus du Banc d’Arguin.

La première s’appelle « E V O L U T I O N ». Le titre m’est venu très naturellement puisqu’il s’agit justement de l’évolution de la conche Sud d’Arguin, qui cette année a beaucoup changé.

En tournant autour de cette conche, j’ai très vite eu la vision d’un visage, celui d’un personnage fantastique. J’ai donc eu l’idée de l’appeler « M A R V E L »

Ces deux nouveautés sont disponibles à la galerie et sur mon site dans les différents formats et supports.

Mais le mieux si vous le pouvez, est bien sûr de venir les découvrir à la galerie.

Photo aérienne du Banc d'Arguin au Bassin d'Arcachon par le photographe Stéphane Scotto

Publié le 7 juillet 2023
20 ans au dessus du Bassin

La chaîne locale TVBA m’a proposé de réaliser un petit sujet afin de présenter mon travail.

Bien que le format soit très court et très dense (réseaux sociaux obliges…), je trouve que le réalisateur a parfaitement réussi ce reportage, évoquant tous les aspects de mon activité: prises de vues aériennes artistiques, la galerie et les livres.

Publié le 17 mai 2023
Une cinquième place pour « 3 Colors »

Cette année j’ai participé à trois concours photos dont celui organisé en marge du Festival Gravity qui se tenait à la Fondationn Good Planet de Yann Arthus Bertrand.

J’ai choisi la photo aérienne de la Réserve Naturelle de Petite Terre en Guadeloupe, que j’avais réalisé en 2017 et intitulé « 3 Colors ».

Cette photo avait déjà attiré National Geographic qui l’avait sélectionné à l’époque pour illustrer la Journée de la Terre.

Malheureusement pour moi, elle n’a terminé qu’à la cinquième place.

photo © Christian Berthier

La photographie aérienne s’est considérablement démocratisé avec la diffusion des drones, de plus en plus performants et de moins en moins chers. Associé aux progrès de la retouche photo, les images aériennes époustouflantes inondent les réseaux sociaux et finissent par être banalisées.

Celle-ci en tous cas a été prise à bord d’un autogire et n’a pas été retouchée avec exagération. Le résultat final est conforme à la réalité.

Petite vidéo explicative

Publié le 17 mai 2023
El Galèon

A l’occasion du Salon Nautique d’Arcachon, El Galèon, réplique d’un galion espagnol, est venu d’Andalousie nous rendre une petite visite.

Comme il se doit, j’ai tenu à immortaliser cet évènement, mais contrairement à l’année dernière avec le Bellem, j’ai choisi de ne pas réaliser de prises de vues aériennes, et de me contenter de le photographier depuis le Tir au Vol à Pereire, et depuis le Belvédère d’Arcachon.

La lumière était plus que moyenne, mais ce galion m’a tellement rappelé mon bateau de pirates de Playmobil que cela valait le coup ! 😉

Publié le 29 mars 2023
Pyrénéus
Lac de Gaube, pont d'Espagne. Paysage des hautes pyrénées, au niveau de Cauterets et du parc Naturel
Lac de Gaube, Pont d’Espagne.

J’ai toujours aimé la montagne en hiver.

Cette sensation d’immensité, de danger imprévisible. Comme en mer, la montagne dicte ses règles et gare à celui qui tente de les défier.

J’ai eu la chance de pouvoir apprendre à skier très jeune. A peine je savais marcher que mes grands parents m’emmenaient dans leur caravane « à la neige », comme on disait à l’époque, quelque part en Savoie. Puis, grâce aux colonies de vacances, classes de neige et stages UCPA, je pu accéder tous les hivers aux sommets des Alpes, où à force j’acquis un très bon niveau de ski.

J’aimais tellement la montagne que pour mon service militaire, je me portais volontaire pour rejoindre les Chasseurs Alpins. Malheureusement, ma forte myopie m’empêcha d’y accéder et c’est ainsi que je partais finalement sous contrat de deux ans comme photographe dans l’Armée de l’Air à Dakar au Sénégal, où finalement je restais 6 ans.

Cette coupure avec la montagne et la neige fut fatale puisque par la suite, installé sur le Bassin d’Arcachon, et bien que relativement proche des Pyrénées, je ne ressenti plus l’envie de me confronter au froid, plus attiré par les eaux chaudes et turquoises de la Caraïbe, ou par la découverte des grands espaces américains.

Ce n’est qu’en février 2022, de part les difficultés et incertitudes pour voyager à cause du Covid, que je décidais de tenter de me remettre au ski et de renouer avec la montagne. Etant encré et attaché au Sud Ouest, j’ai pensé que cela avait du sens de me concentrer sur les Pyrénées, une chaîne de montagne qu’il m’est arrivé de photographier depuis… la Dune du Pilat !

C’est avec une certaine appréhension, que trente ans plus tard, je rechaussais des chaussures de ski. On me disait toujours : « tu verras, le ski c’est comme le vélo, ça ne s’oublie pas »

… et bien vous savez quoi ? c’est vrai !

Il ne m’aura suffi que de quelques descentes pour retrouver mes marques, et quelques semaines pour m’adapter au nouveau style et au nouveau matériel. Et… redevenir accroc !

Au delà des sensations qu’il me procure, le ski de piste est un moyen de déplacement intéressant pour accéder aux altitudes les plus élevées et transporter sans trop de difficulté mon matériel moyen format. Avec un téléobjectif puissant, je peux capter des détails et des paysages situés loin, très loin, et surtout inaccessibles.

Mais je pars aussi en randonnées en raquettes, ce qui permet de varier les ambiances et de s’éloigner de la civilisation pour une relation plus intime avec la montagne.

Bien sûr, comme pour tous les décors naturels, c’est la lumière qui procure la magie d’une photographie. Il faut donc aussi pouvoir séjourner longtemps sur place pour avoir plus de chance de faire cette rencontre.

Je me suis rendu compte, qu’en hiver, le noir et blanc s’imposait de façon assez systématique. Le ciel bleu intense devient noir et les nuances de gris rocailleuses contrastent avec les courbes douces et rassurantes de la neige immaculée.

Mais parfois, quand le ciel est blanc ou gris, il n’est pas nécessaire de faire du N&B pour obtenir une photographie quasiment monochrome. C’est d’ailleurs cette ambiance que j’apprécie le plus. Il y a un côté féérique qui se dégage.

Mes premières photographies des Pyrénées rassemblent mes découvertes des hivers 2022 et 2023, sur les territoires de Cauterets, Saint-Lary, Piau Engaly et Loudenvielle. Cliquez ici pour les découvrir.

Les tirages, sont disponibles du 30×40 au 90×120, et plus grand pour certaines, notamment les panoramiques qui peuvent atteindre 2m de longueur.

Publié le 17 novembre 2022
Interview dans le podcast « Parlons livres photos »

Le photographe Julien Gérard m’a fait l’honneur de m’interviewer pendant plus d’une heure dans son podcast « parlons livres photos ».

Nous avons évoqué mon parcours professionnel, mes expériences, mon matériel et bien sûr nous avons parlé de mon dernier livre « ORGANIC ».

C’est à écouter ici:

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Publié le 1 novembre 2022
Terre Sauvage: nouvelle publication

Pour ce numéro du mois de novembre, le magazine Terre Sauvage publie un dossier consacré au Parc Régional des Landes de Gascogne, illustré par quelques unes de mes photographies, terrestres et aériennes.

L’article, initialement bouclé en juin, a dû être modifié en raison des incendies qui ont ravagé une grande partie des forêts situées dans le Parc Régional. Une de mes photos aériennes réalisée le 8 août alors que les fumeroles étaient encore actives a donc été ajoutée.

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