Voilà, nous sommes en plein dans l’été et il est caniculaire. Heureusement à la Galerie de la Hume il y a la clim ! 😉
Cette année, je n’ai pas fait de nouvelle photo du Bassin. J’ai un principe depuis vingt ans : je ne me force pas à faire des photos du Bassin si je n’ai pas une nouvelle idée ou un nouveau thème. Mon boitier moyen format n’a pas déclenché depuis le vol en ULM du 15 octobre 2018. Et c’est très bien comme ça. Pour moi, le Bassin n’est pas un produit de consommation, même si certains ont cru bon d’en faire une « marque territoriale » avec une soit disante « charte » et des soit disantes « valeurs » et un logo « B’A » qui a envahi nos nombreux ronds points. Je pense que le meilleur moyen de respecter le Bassin c’est de ne pas forcer les choses, de ne pas aller vite, et surtout de ne pas exploiter son image de manière primitive.
Des photos j’en ai des centaines qui n’ont pas pris une ride. D’ailleurs depuis quelques temps je m’amuse à ressortir des photos qui datent de presque dix ans et qui n’avaient pas encore atteint la limite des 30 exemplaires. C’est le cas de « Les Cabanes dans la Savane » et de « Arizona Dream » que je propose à nouveau mais en tirages très TRES grands formats.
Certes, je suis bien conscient que pour le plupart des acquéreurs, la motivation est purement décorative, mais il serait dommage de ne pas prendre en considération l’aspect patrimonial. Ces photos sont aussi le témoignage d’une époque. Le Bassin change constamment, pour des raisons naturelles et malheureusement de plus en plus aussi par l’urbanisation et l’artificialisation des lieux. Mais un autre phénomène est venu perturber mon travail : les restrictions et interdictions d’accès à des sites emblématiques et fragiles devenus trop fréquentés.
Ceci me complique la tâche et il va me falloir redoubler d’imagination pour trouver de nouveaux axes de prises de vues.
En attendant, je vous invite à venir découvrir la version en tirage subligraphie de l’Arbre Généalogique, encadré en caisse américaine en noyer massif, des très grands panoramiques de « The Pink Lady », « Les Culs Nus », « Les Cabanes dans la Savane », « Le Domaine des Dieux », « Arizona Dream », « Piraillan », « Horizon », « Gaillouneys, heure bleue » et bien d’autres…
Il reste encore quelques exemplaires disponibles de « Ancre de Chine » désormais proposée uniquement en subligraphie 90×120 (ou plus grand) et de « La Colère du Phénix ».
Pour les adeptes de la finition laminage sur bois, j’ai un choix importants de tirages en formats 60×60, 80×80, 60×80 et panoramiques 60×130, dont 3 exemplaires de l’Arbre Généalogique disponibles en 60×80 à 189 €.
Concernant les livres, il ne reste que 300 exemplaires de « Une Autre Planète » et à peine une vingtaine de « J’ai Rêvé du Bassin ». Mon prochain livre est en gestation mais cela reste encore assez vague dans mon esprit. Là aussi, je prend mon temps, comme si je devais attendre la marée pour partir. C’est cela le Bassin !
Je vous attend donc à la Galerie tout l’été du mardi au samedi de 10h00 à 12h30 et de 16h00 à 19h30 (et sur rendez-vous en dehors de ces horaires si vous le souhaitez). Passez un bel été et surtout… prenez le temps, rien ne presse ici 😉
Samedi 25 mai, j’étais l’invité de Marie-Corine Cailleteau dans l’émission « Au Fil de l’Eau » sur France Bleu Gironde. Une heure d’entretien pour parler de mon parcours, de mon dernier livre, de mon attachement au Bassin d’Arcachon mais surtout de ma sélection en finale du concours des Photographies de l’Année et de ma participation au Festival Photo de Bellême sur le thème : « L’eau, la Mer, l’Océan ».
L’émission est à écouter en intégralité en cliquant ici (vous pouvez zapper les pub et intermèdes musicaux avec le lecteur).
Le journaliste Jean-François Géa de la nouvelle chaine NoA de France 3 Aquitaine a interviewé Dominique Audinet de la la Maison de la Presse du Cap Ferret à propos de mon dernier livre « Une Autre Planète ».
Je suis très touché par ce choix et par toute la bienveillance exprimée par ce libraire qui a pris le temps de découvrir cet ouvrage haut de gamme dans les moindres détails. Sa lecture d’un passage des très beaux textes de Hervé Hélary est un pur régal.
J’en profite pour signaler qu’il ne reste que 300 exemplaires disponibles à la Galerie de la Hume, sur mon site, et dans les librairies et points de vente suivants :
Arcachon : Librairie Générale, Comptoir de la Mer (Port d’Arcachon)
Le Moulleau : boutique concept store Elle & Lui
La Teste : Cultura, Comptoir de la Mer (Port de la Teste)
La Hume : Galerie de Stéphane Scotto
Gujan-Mestras : Maison de l’Huître
Andernos : Librairie Le Jardin des Lettres
Claouey : Hedonic (Porsches et motos de collection)
Cap Ferret : Maison de la Presse du Cap Ferret
Bordeaux : Mollat
pour la troisième année consécutive me revoici en finale du Concours des Photographies de l’Année avec une photo aérienne du Bassin dans la catégorie « Paysage-Nature-Environnement » .
J’avais également présenté « A l’Est d’Eden » et « La Colère du Phénix » mais c’est finalement« Arbre Généalogique » qui a retenu l’attention du jury et nous connaîtrons dans deux mois le résultat final.
Je suis en compétition avec deux autres photos représentant des arbres, pur hasard ou volonté du jury ? 😉
Cette photographie (qui est dans mon dernier livre) a été prise à marée basse lors d’un vol au dessus du Delta de la Leyre et du fond du Bassin. Précisément au large de Gujan-Mestras. Cet « arbre » formé par les multiples minuscules estéous (petits esteys) est une belle représentation symbolique de la fragilité du Bassin.
Mais combien de coeurs dans l’écume et d’arbres formés par les marées faudra t-il pour que nous prenions enfin conscience de la nécessité de protéger ce territoire ?
Le Bassin doit-il rester ce joyau de la nature, au charme authentique et sauvage ou doit-il devenir un Bordeaux-Lac bis, tout urbanisé, saturé de voitures et pollué ?
Où est la limite à ne pas franchir ? si tenté qu’elle n’ait pas déjà été franchie …
J’aurai l’occasion de vous en reparler très prochainement.
J’ai le plaisir de vous annoncer la sortie prochaine de mon nouveau livre consacré au Bassin d’Arcachon.
J’ai eu l’idée de ce livre en réalisant la photo « Une Autre Planète » qui a remporté l’année dernière la deuxième place aux Photographies de l’Année et dont le tirage a presque atteint les 30 exemplaires.
Pour ce cinquième ouvrage, j’ai donc choisi de vous montrer le Bassin comme vous ne l’avez jamais imaginé.
Depuis l’ULM je l’ai photographié à la verticale sous tous les angles en cherchant les formes et les couleurs les plus étonnantes formées par la nature. Parfois à la limite de l’abstrait.
La totalité des photographies de ce livre ont été réalisées en 2017 et 2018 avec mon appareil moyen format* équipé de deux optiques fixes entièrement manuelles : un grand angle 28mm et un téléobjectif 100mm.
Au moment où je vous écrit cet e-mail, il me reste encore trois vols à effectuer pour réaliser des photos complémentaires que je vais ajouter à la maquette de 228 pages avant d’aller chez l’imprimeur dans le Tarn. Autant vous dire que je suis à l’affut de la météo en ce moment 😉
J’ai confié l’écriture des textes à Hervé Hélary, infatigable et talentueux animateur de Radio Cap Ferret, aussi à l’aise avec un stylo qu’avec un micro. Il n’était pas question de faire un énième livre façon « guide touristique » ou « livre de géographie ». Nous adressons ce livre aux amoureux du Bassin, qui auront envie d’aller au delà des clichés habituels. C’est un livre « pour ceux qui savent »… et pour ceux qui ne savent pas encore mais qui sont curieux 😉
C’est pour cela qu’il ne sera tiré qu’à 1200 exemplaires.
Plutôt que de céder à la tendance du nivellement par le bas qui se traduit par une diffusion de masse de « produits » estampillés « Bassin », j’ai fait le choix de monter encore en gamme avec un format exceptionnel 30x30cm, une couverture rigide avec une impression avec effet de relief de la jaquette et une qualité d’impression irréprochable 100% made in France. Ce sera ce que les anglo-saxon appellent un « coffee table book » c’est à dire un livre que l’on pose sur la table basse du salon et qui devient un objet de décoration. Un livre qu’on ouvre au hasard en prenant son café. Un livre dont les photos et les textes peuvent devenir un sujet de conversation avec les amis.
Voici quelques pages :
Comme pour mon précédent livre, j’ai concocté une playlist musicale que vous pourrez écouter pour vous plonger encore plus dans cet univers « cosmique ». Le lien Deezer et le flashcode seront imprimés en premières pages.
Son prix de 69 € est plus élevé que mes livres précédents mais justifié par son format et sa finition et surtout par sa faible diffusion.
Un livre rare donc, qui je l’espère, traversera les décennies et se transmettra de génération en génération.
La date de sortie de Une Autre Planète est prévue pour fin juin/début juillet 2018.
Il sera disponible dans ma Gallerie de la Hume et dans quelques librairies du Bassin et de Bordeaux fidèles à mon travail (je vous fournirai la liste le moment venu).
Comme pour mes livres précédents, je lance dès à présent une souscription afin de pouvoir financer la plus grosse partie de l’impression. En remerciement de votre participation à ce projet, vous recevrez, en plus de l’ouvrage, un très beau calendrier 2019 format 30×30, 14 pages d’une valeur de 15 € (qui sera également disponible à la vente séparément) et pour ceux qui seront présents sur le Bassin à ce moment-là j’aurai le plaisir de vous inviter à la soirée de lancement qui se déroulera à la Galerie.
Pour réserver votre exemplaire c’est très simple, cliquez ici,passez votre commande, choisissez la livraison en colissimo (5€ de participation) ou à la Galerie de la Hume (gratuit), réglez comme vous le souhaitez : CB, virement, Paypal ou chèque, sachant que si vous réglez par chèque celui ci ne sera pas encaissé avant la livraison du livre. N’oubliez pas de me signaler si vous souhaitez une dédicace.
Bien entendu, vous pouvez aussi passer me voir directement à la Galerie.
Dans les semaines à venir je vous tiendrai au courant de l’avancé de la maquette et des vols photos effectués.
A bientôt et merci pour votre fidélité.
Stéphane.
*moyen format : un appareil moyen format est un appareil dont le film (pour les modèles argentiques) ou le capteur (pour les modèles numériques) est plus grand qu’une fenêtre classique 24×36 (2,4 x 3,6cm). J’utilise depuis 3 ans un appareil numérique Pentax 645Z dont le capteur mesure 4,5 x 6 cm pour 52 Millions de pixels. Cet appareil me permet d’obtenir une richesse de détails et une netteté autorisant des agrandissements géants de qualité mais aussi d’obtenir un rendu, une profondeur et une restitution des nuances exceptionnelles. Seules 5 marques au Monde fabriquent des appareils moyen format : Hasselblad, Mamiya, Pentax, Fuji et Leica. Les prix vont de 8000 € à plus de 40 000€ boitier nu. La moindre optique coute entre 2500 et 5000 €. Mais le Bassin le vaut bien 😉
Après deux mois dans l’Archipel de Guadeloupe me voici de retour sur le Bassin.
La Galerie de la Hume est donc ouverte de nouveau aux horaires habituels et ce pour une nouvelle saison.
Mais la grande nouvelle de ce printemps c’est la mise en chantier de mon prochain livre, le 5 ème consacré au Bassin.
Après mon premier livre en panoramique « Rencontre avec la Lumière » sorti en 2005, « Balade en Altitude » sorti en 2008, « Mon Petit Paradis » sorti en 2012 et « J’ai Rêvé du Bassin » sorti en 2016 et toujours en vente, voici donc : » U N E A U T R E P L A N È T E »
Ce sera un livre très haut de gamme, un grand format, épais et lourd, magnifiquement imprimé à seulement 1000 exemplaires.
Son prix sera de 69 €.
Ce livre ne comportera exclusivement que des photos aériennes. Je me suis attaché à photographier le Bassin en cherchant à capturer les formes et les couleurs en allant jusqu’à l’abstraction. Vous serez étonné, tant par les photographies que par les textes.
Comme pour chacun de mes livres précédents, une pré-commande sera lancée très prochainement. Il y aura des avantages pour celles et ceux qui réserveront leur(s) exemplaire(s).
Je vous donne donc rendez-vous très bientôt.
Dans une semaine, ce sera la joie de partager en famille le fameux réveillon de Noël et d’ouvrir les cadeaux.
Il vous reste donc encore quelques jours pour peut-être décider d’offrir (ou de vous faire offrir) un de mes livres ou une de mes photos.
Concernant les photographies grands formats il est désormais trop tard pour commander à distance et espérer la recevoir pour le 24…
En revanche pour le livre « J’ai Rêvé du Bassin » (49€) et les petits tirages de la photo du coeur « Ocean of Love » en 24×30 (29€) et en 40×50 (49€) vous avez encore jusqu’à mardi soir dernier délais.
Le paiement se fait en ligne soit par CB, soit par Paypal, soit par virement, ou encore par chèque. C’est moi qui m’occupe de tout: dédicace, emballage, expédition.
Concernant la Galerie de la Hume, il y a énormément de stock donc vous trouverez forcément votre bonheur d’autant plus que je reçois les tirages de la collection Eté Indien 2017 mardi.
(attention, il n’y a qu’un seul exemplaire par photo donc premiers arrivés = premiers servis, ensuite il faudra attendre une dizaine de jours)
J’aurai le plaisir de vous accueillir toute la semaine à des horaires très élargis :
Lundi 18 : 10:00/12:30 – 15:00/18:30
Mardi 19 à Vendredi 22 : 10:00/12:30 – 14:30/20:00
Samedi 23 : 10:00/21:00 (ouverture non stop !)
Dimanche 24 : 10:00/20:00 (ouverture non stop !)
Idée de cadeau : « Ocean of Love » disponible à la Galerie avec de jolies encadrements blancs ou noirs : un beau cadeau avec un beau message pour vos proches.
24×30 encadrement (blanc ou noir) : 39 €
40×50 encadrement blanc : 69 €
40×60 encadrement noir : 79 €
Cette année l’été indien m’a donné du fil à retordre. Avec le réchauffement climatique, ce n’est plus comme avant. Finit la belle époque ou la douceur s’installait sur le Bassin pendant plusieurs semaines avec son lot de lumières extravagantes et ses conditions parfaites pour sublimer les paysages du Bassin. La magie est encore là mais les instants sont plus rares et il me faut guetter le ciel en permanence et être prêt à sauter sur la moindre occasion pour pouvoir réussir quelques photographies originales.
C’est ainsi que j’ai consacré tout mon temps en octobre. Ceux qui suivent mes petites aventures photographiques sur mon compte instagram se souviendront certainement de ces publications mises en lignes parfois en direct 😉 :
Bien sûr, après presque vingt années à photographier le Bassin il n’est pas question de se répéter. Il me faut constamment me renouveler et explorer de nouvelles pistes. J’ai donc poursuivi ma série « Milky Way » et je suis allé plusieurs fois en haut de la Dune du Pilat pour capter la voie lactée au dessus de notre « petit sahara ».
Pour réussir ce type de photograpies il faut réunir plusieurs conditions :
– le moins de pollution lumineuse possible, donc de préférence une nuit sans Lune
– un ciel parfaitement dégagé, pas trop de vent, pas trop froid (car ce sont de longues heures d’attente)
– et bien sûr, il faut que la voie lactée soit au rendez-vous
Lorsque ces conditions sont réunies je peux espérer capter quelque chose. J’utilise une application « carte du ciel » sur mon smartphone pour voir où se trouve exactement la voie lactée puis je réalise ma composition. Dans la nuit, pour les réglages et notamment la mise au point, il faut y aller à « tatons ». En général je suis obligé de superposer plusieurs photos avec plusieurs temps d’exposition. La très haute sensibilité du capteur de mon boitier moyen format numérique me permet de récupérer des informations non visibles à l’oeil nu qu’il ne me reste plus qu’à traiter à l’étalonnage par la suite. Vous l’aurez compris ce type de photo nécessite beaucoup, mais alors vraiment beaucoup de travail et de patience. J’espère que le résultat vous plaira.
J’ai aussi souhaité réaliser quelques photographies N&B qui sont disponibles en formats carrés, du 60×60 au 100×100. J’ai cherché à me rapprocher du style de l’un de mes mentors : le photographe Raymond Depardon, qui utilisait beaucoup le film Kodak TriX400 dans ses prises de vues de paysages. Ce sont des images très contrastées avec du vignetage et un peu de grain.
Je vous propose également trois nouveaux panoramiques dont une vue absolument magique réalisée au moment de l’heure bleue au Banc d’Arguin que j’ai intitulé « Le Paradis Bleu » . Là encore, je tiens à préciser qu’une telle photo ne s’improvise pas. A ce panoramique d’une netteté absolue s’ajoute une vue prise sur le sentier du littoral au niveau du Port de Meyran et une nouvelle photo de la Conche du Mimbeau aux couleurs douces et reposantes.
Quant aux prises de vues aériennes, j’ai décidé de n’en dévoiler qu’une infime partie puisqu’elles sont avant tout destinées à composer mon prochain livre « Une Autre Planète » qui sortira avant l’été prochain. Bien entendu, il y a « Ocean of Love » cette fameuse photo du coeur parfait formé par l’écume des vagues que j’ai choisi de ne pas limiter à 30 exemplaires afin de pouvoir vous la proposer dans des petits formats plus accessibles tels que 24×30 (29€), 40×50 (49€), mais aussi 60×80 (189€) et jusqu’à 1m25 x 1m65 !
Toutes ces nouveautés sont dès à présent disponibles sur mon site (rubrique « Eté Indien 2017) dans tous les formats et supports avec une livraison directement chez vous. Concernant la Galerie de la Hume, les tirages sont en cours au laboratoire photo et je devrai les recevoir à la Galerie avant le 15 décembre. Attention, je n’ai commandé qu’un seul exemplaire par photo. Premiers arrivés, premiers servis 😉
Le directeur de l’agence Synekwanon était déjà client de ma Galerie d’Arcachon à l’époque.
Venant de s’installer dans des nouveaux locaux cours Tartas, il a souhaité donner à ses bureaux une « identité Bassin » forte tout en misant sur la qualité.
Le grand format s’imposait.
Il a donc choisi d’acquérir 3 photographies avec encadrement caisse américaine « made in Scotto ».
Tout d’abord il a fait l’acquisition d’un exemplaire de « Une Autre Planète » (dont il ne reste plus que 15 numéros disponibles sur les 30), puis de « Sabloneys #01 » (une photographie réalisée avec mon appareil panoramique moyen format argentique Widepan sur du film Fuji Velvia).
Enfin comme il avait craqué à la Galerie pour « Gaillouneys » sous verre acrylique.
Cette photographie panoramique représente le site des Gaillouneys situé après la Dune du Pilat. Je m’y étais rendu un soir d’octobre où les conditions de lumières étaient exceptionnelles. En effet, un orage se formait au large avec des nuages bas de type mammatus. J’ai attendu ce moment magique de l’heure bleue, quand le soleil vient de se coucher et que le bleu de la nuit apparaît et se mélange à une lumière encore assez forte. Un instant qui ne dure que 3 ou 4 minutes.
Mon client m’a demandé de la produire dans le plus grand format possible et d’y ajouter une caisse américaine !
Un véritable défis car en 2m25 de long l’opération est délicate.
Le tirage argentique a donc été réalisé en labo pro, puis monté en face image sous verre acrylique (le terme exact est « diasec ») avec l’atelier qui travaille pour moi depuis plus de 15 ans. Je me suis chargé de la fabrication de la caisse américaine et de l’intégration de la photo. Je pense que le résultat est à la hauteur des efforts pour y parvenir.
Ce type de format géant a plusieurs avantages :
– les visiteurs et clients de votre entreprise constatent que vous avez su mettre les moyens pour bien les accueillir (contrairement à vos concurrents qui se seront peut-être contentés de décorer leurs locaux avec des images sans âme achetées à Leroy Merlin ou Ikea…)
– ils sentent votre attachement au Bassin et cela crée inconsciemment un lien avec eux et un sentiment de sympathie
– la photographie peut-être un sujet de conversation qui là encore va créer du lien entre vous par le partage de vos émotions, de votre vision du territoire
– le très grand format donne une sensation de volume à la pièce
Enfin, du fait que mes photographies sont limitées à 30 exemplaires, si vous êtes une entreprise soumise à l’IS vous avez la possibilité de les défiscaliser en tant qu’oeuvres d’art, jusqu’à une valeur de 5 pour mille de votre CA annuel. Cette défiscalisation s’étale sur 5 années. La condition étant que la photographie doit être visible du public. Pour les professionnels non soumis à l’IS vous pourrez bien entendu l’intégrer dans votre comptabilité comme une charge (décoration, mobilier). Alors pourquoi hésiter ?